mardi 26 mai 2009

DES NOUVEAUTES US TOTALLY CRAZY ! (épisode 2)

Après celle du mois de mars dernier, voici ma nouvelle sélection de produits américains originaux, voire… totally crazy. Ils sont fous ces américains, oui, mais quand même très inspirants, reconnaissons-le... Démonstration en 4 nouveautés :

1. Un remède pour dessous de bras foncés
Oui, vous avez bien lu : pour les dessous de bras foncés. Parce, parait-il, même quand on est bien épilée, l’hyperpigmentation de cette zone peut parfois donner l’impression que l’on fait la grève du rasage.
Heureusement, à ce délicat problème dont je ne soupçonnais personnellement pas l’existence il y a 24 heures, VMV Hypoallergenics apporte LA solution. Illuminants Active Lightening Underarm Treatment and Antiperspirant (ouf !) est un déodorant multifonctions qui est à la fois antiperspirant et... éclaircissant !
Dommage que ce superhéros des déos ne soit pas également anti-repousse poils, non ? (+ d'infos)

2. Un sérum capillaire effervescent
Le Silk Repair Advanced Therapy Treatment de Graham Webb se présente sous forme d’un sachet à 2 compartiments dans lesquels se trouvent 2 crèmes qui, lorsqu'elles entrent en contact, provoquent une réaction chimique qui forme instantanément de la mousse.
La formule, riche en acides aminés, vitamines et sels minéraux, ciblerait ensuite les zones des cheveux les plus abimées pour les réparer.
Comment peut-elle cibler spécifiquement ces zones, me direz-vous ? Eh bien ça n'est pas précisé...
Et l’intérêt de la mousse ??? Peut-être juste pour faire parler du produit… Et ça marche, la preuve ! (+ d'infos)

3. Une brosse à dents simple mais futée
Colgate Wisp, c’est une mini-brosse à dents unidose, nomade et jetable, qui permet de conserver un minimum d’hygiène lorsqu'on n’a pas accès à de l’eau pour le rinçage. Si vous vous dites que ça n’arrive jamais, c’est que vous ne voyagez pas dans des pays où l’eau n’est pas potable, ou que vous ne vous lavez pas les dents après chaque repas comme le préconisent les dentistes (au bureau par exemple).
Le principe : le dentifrice est incorporé à l'intérieur de la brosse, se dissout petit à petit au cours du brossage et ne se rince pas.
La bonne nouvelle pour les hygiénistes acharnés, c’est que comme c’est un produit Colgate, on risque de le voir débarquer très bientôt en France. (+ d'infos)

4. Un casque électrique anti-âge
Jetez un oeil à l'image ci-dessous. Le casque que vous voyez est le dernier must have de l'anti-âge. C’est juste incroyable, non ? On dirait le masque d'Actarus ! Son nom : le Face Trainer, rien que ça. Il a été mis au point par les inventeurs de No!No!, l’exterminateur brûleur de poils (dont j’aurai l’occasion de vous reparler très bientôt).
Le principe :
1. Vous coiffez la chose
2. Vous faites des enchaînements de grimaces. Par exemple, le mouvement du « chiot surpris » = une alternance de bouche en ovale + sourcils levés (= surprise) et de « tête relaxée du petit chien qui fait la moue » (sic).
3. Pendant ce temps, le Face Trainer crée une résistance contre les mouvements que vous effectuez. Et remuscle le visage, donc...
Tout le monde a suivi ? (Résultats prouvés ici, + d'infos )

Voir aussi la précédente sélection de cosmétiques US ici.


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lundi 25 mai 2009

CARAMELS, BONBONS, CHOCOLAT... & ACNE ???

« Parole, parole, parole !, nous affirmait-on depuis des années, le chocolat et la charcuterie ne donnent pas de boutons. ». Et bien, retournement de situation : le rôle de l’alimentation dans l’acné est aujourd’hui prouvé ! Plusieurs études ont en effet montré qu’une forte consommation de sucres rapides, de graisses et de produits laitiers favorisent l’acné.

Je vous passe l’histoire pleine de rebondissements sur le rôle de l’alimentation dans l’aggravation de l’acné (très bien expliqué ici et ).

Ce qui a été observé de manière très claire,
c’est que dans les populations primitives à alimentation traditionnelle (en Nouvelle Guinée ou au Paraguay, par exemple), les gens ont peu ou pas d'acné, de boutons ou de points noirs, contre 70 à 90% des adolescents des pays occidentaux. L’explication scientifique : on peut supposer que leur régime étant pauvre en sucres rapides (caramels, bonbons, chocolat…), leur corps produit moins d’insuline pour réguler la glycémie (taux de sucre dans le sang) et par conséquent leur taux d’androgènes (hormones mâle favorisant l’acné) est moins élevé*.

Une autre étude chez des patients acnéiques vient de le confirmer. 2 groupes ont été étudiés : 1 avec une forte consommation de sucres rapides, l’autre avec une consommation limitée. Qui a eu la plus belle peau à la fin ? Le 2ème, bien sûr, qui présentait moins de lésions d'acné.

Le lait aussi pourrait jouer un rôle
car il contiendrait des constituants hormonaux ou des molécules influençant les hormones, notamment une hormone de croissance : l’IGF-1.

A savoir aussi (résultats non significatifs mais tout de même intéressants) : les acnéiques consomment en moyenne 2,3 fruits et légumes par jour contre 4 pour les non acnéiques.

En conclusion : l'alimentation joue un rôle-clé dans l'acné, mais le mécanisme n'est pas encore très clair. En attendant, celles et ceux qui se font traiter dans la cour de récré de « face de calculette » peuvent d'ores et déjà adopter une alimentation mieux équilibrée, riche en fruits et légumes, sans excès de produits laitiers, de sucres et de graisses.

* Je sais, tout cela n’est pas évident à comprendre quand on n’est pas biologiste, et même quand on l’est, croyez-moi, il est possible d’avoir un peu oublié le lien entre glycémie et androgènes ! Mais bon, faisons confiance aux scientifiques…



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samedi 23 mai 2009

UNE PUB POUR PRODUITS SOLAIRES... PLUTOT INATTENDUE


L'Australie est bien connue pour être l'un des pays pionniers en matière de protection solaire. Les descendants des colons anglais, à la peau de lait, ont choppé tellement de cancers de la peau ces 30 dernières années qu'aujourd'hui, plus personne ne sort sans une protection +++. Et sur la plage, le look tendance, c'est chapeau, t-shirt et maillot de bain traité anti-UV.

Plus personne ???

Ce serait oublier une bonne partie de la population. La protection solaire ne s'adresse en effet pas tout à fait à tout le monde*. Voyez ces 2 pubs : détonantes dans un univers habituellement plutôt glamour et féminin, non ?

Bon, ok, elles sont marrantes, ces pubs. Mais je me demande vraiment si elles sont efficaces sur la cible concernée... Qu'en pensez-vous ???

Voir la vidéo sur : http://www.youtube.com/watch?v=x4kuuOWBPCk


* Attention, contrairement à ce que l'on pourrait croire, les peaux noires peuvent aussi attraper des coups de soleil ! Qui ne se voient pas trop... forcément... mais peuvent faire beaucoup de dégâts...

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samedi 16 mai 2009

UNE DOUCHE AUTOBRONZANTE... A LA MAISON !


Il y a 2-3 ans, je suis tombée chez colette
* sur une drôle de machine avec un nom compliqué : l’Uslu Airlines Airbrush. Une démo vidéo révélait heureusement son utilité, car elle n'était pas du tout évidente à deviner du premier coup d’œil... Grâce à un mini-compresseur intégré, cet appareil futuriste permet en fait de pulvériser un nuage de fond de teint, pour un résultat garanti plus-que-parfait.

Tout cela m’avait laissée un peu sceptique, d’autant plus qu’elle coûte… le tiers d’un SMIC !

Et voilà que j’apprends que la même technologie est aujourd’hui appliquée aux autobronzants. Une "douche autobronzante" à la maison, donc. Vu que toutes mes copines qui ont testé ce genre de douche en institut m’en ont parlé comme de la découverte du Saint Graal, je me dis que ce produit-là a peut-être
de quoi devenir culte…

Démonstration en 5 points :
1. Rappel : les UV, c’est pas bien.
2. Problème : on veut quand même être bronzé tout l'été.
3. Solution de base : les autobronzants (avec des formules qui aujourd’hui ne rendent plus la peau carotte, mais des difficultés à atteindre certaines zones du corps et parfois des petits soucis d’homogénéité).
4. Solution pro : la douche autobronzante (safe, ultra-efficace, mais qui coûte quand même 30€ la séance).
5. Solution printemps 2009 : le Luminess Tan, une machine at home dotée d’un pistolet qui vaporise l’autobronzant de manière uniforme, sans que l’on n’ait (trop) à se contorsionner. 130 € (+ recharges) pour être hâlé toute l'année.


Attention, comme je vous donne des infos ultra-exclusives en avant-avant première, le Luminess Tan n’est pas encore commercialisé ! Il ne le sera pas tout de suite
en France d'ailleurs, mais si vous avez un oncle d'Amérique, il peut le pré-commander pour vous ici.

* colette sans majuscule, ce n'est pas une faute de frappe, c'est la patronne qui y tient.




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mercredi 13 mai 2009

MAIGRIR POUR SAUVER LA PLANETE ???


Sachez-le : votre surpoids n’affecte pas que votre petite personne. Selon une étude britannique* parue dans the International Journal of Epidemiology, nos kilos superflus auraient également un impact négatif sur la Planète.

Les personnes en surpoids contribueraient en effet chaque année à émettre 1 tonne de CO2 de plus que les personnes de poids « normal ». Si l’on tient compte du fait qu’il y a environ un milliard de personnes en surpoids à travers le monde, ça fait beaucoup de carbone en plus !!!

Et quels sont les arguments scientifiques qui poussent les auteurs de cette étude* à affirmer une telle différence d’impact écologique entre les minces et les gros, me direz-vous ?

Eh bien c’est simple : les gros mangent plus... et bougent moins !

1. Les gros mangent plus :

On sait que la production de nourriture est une source majeure de gaz à effet de serre (élevage et agriculture intensifs, transport, emballages…). Donc plus la demande est grande, plus il y a de pollution. Plus on mange, plus la Planète souffre... CQFD.

2. Les gros bougent moins :

Les gens en surpoids utilisent plus la voiture que les personnes de poids normal, qui eux sont plus friands de transports en commun, de marche ou de vélo éco-friendly. Car se mouvoir quand on pèse lourd demande beaucoup d’efforts…

La conclusion incroyable de cette étude : un des facteurs-clé pour freiner le réchauffement climatique dans les années à venir sera bien... la lutte contre le surpoids et l’obésité !

Bon, je vais aller me reprendre un peu de salade verte, moi…

* Du Department of Epidemiology and Population Health (London School of Hygiene & Tropical Medicine)

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mardi 12 mai 2009

EMBALLER... UN VRAI CHALLENGE !

Un peu de concentration s'il vous plait !!! Aujourd’hui, on va parler packaging. Car dans le monde de la beauté, le contenant est presque aussi important que le contenu. L’emballage est un support de communication essentiel et tient une part importante dans la décision d’achat. Il permet de protéger le produit et parfois d’optimiser ses propriétés. Le développement d’un flacon ou d’un pot tient compte de nombreux paramètres techniques et marketing dont vous n'avez pas idée ! Joachim Rubio, Responsable Achats & Développement Packaging chez Oenobiol, nous parle de son métier.

Pourquoi l'emballage d’un produit est-il si important ?
Le packaging est une vitrine ouverte sur le consommateur, le premier moment de vérité qui va susciter une impulsion d’achat, soit par une philosophie de la marque, soit par un code, un concept ou un geste d’utilisation. Il a plusieurs rôles, notamment :
  • De protection : le conditionnement doit assurer la conservation du produit jusqu’au moment de l’utilisation, l’isoler des facteurs extérieurs qui peuvent nuire à sa conservation (air, humidité, lumière), tout en restant inerte vis à vis du contenu.
  • Fonctionnel : il doit être conçu pour faciliter l’emploi du produit.
  • D’identification et d’information : il comporte pour cela un étiquetage, des notices avec un mode d’emploi, un numéro de lot et/ou une date de fabrication…
En quoi consiste ton travail au quotidien ? Mon travail est avant tout un métier de communication. Je coiffe différentes casquettes : marketeur et technicien pour la recherche d’innovation, médiateur entre les équipes marketing et industrielles pour la réalisation, négociateur pour la construction des prix, chef de projet pour l’impulsion et la rédaction des cahiers des charges de développement, auditeur qualité pour la typologie des défauts de packaging et des bons procédés de fabrication industriels, etc…

Comment se passe le développement d’un nouvel emballage ?
- Pour mener à bien un projet de développement, il faut commencer par un
brief marketing puis analyser les moyens à disposition et intégrer les contraintes (par exemple, l’impact du choix du matériau sur la réalisation industrielle ou sa compatibilité avec le contenu).
- Une fois tous ces éléments mis en forme, s’impose la
rédaction d’un cahier des charges avec les « champs des possibles ». Des solutions alternatives devront être discutées pour les points où il n’est pas possible d’aboutir.
- Vient ensuite l’étape de la réalisation de prototypes. On voit souvent à ce stade des contraintes non anticipées, qui obligent à de nouveaux réglages et à une médiation importante entre le marketing et l’industriel.
- Une fois le réglage défini et l’orientation validée, on passe successivement à
de nouveaux prototypes (avec par exemple de nouveaux choix en terme de couleur ou de rendu) et à la production industrielle.
Mais en fait, il n’y a pas de schéma type dans l’organisation d’un développement packaging. Les étapes diffèrent selon la structure de l’entreprise.

Quelles sont les qualités requises pour ce métier ?
Pour un développement packaging réussi, il très important de
cibler l’attente marketing dès le départ et de concilier cette attente aux réalités industrielles. Un exercice difficile, car les demandes sont parfois floues et informelles. Il faut souvent rappeler aux équipes marketing les délais de développement et de production, leur expliquer les contraintes industrielles et insister sur les coûts impliqués par des modifications majeures.
D’un autre côté,
les équipes industrielles ont tendance à faire front face aux demandes marketing de nouveaux concepts ou d’évolution de packaging, leurs contraintes à eux étant basées sur l’amortissement de leur parc machine et la cadence de leurs outillages.
Il faut donc avoir un tempérament à la fois malléable et ferme, et toujours veiller à ce que le projet soit formalisé et nourri à chaque stade d’avancement, quelles que soient les contraintes rencontrées.

Quelles sont les tendances pour les emballages de demain ?
Le packaging sera de + en + écologique, + sûr, + pratique, + intelligent, + ludique, + nomade, encore + différent.

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dimanche 10 mai 2009

LA B.A. DU JOLI MOIS DE MAI


J’aime bien quand les marques font des opérations caritatives et je vais essayer de relayer ce type d’actualités chaque mois. Vous les retrouverez dans la rubrique B.A.

Après The Body Shop, Clarins, P&G et Six Scents (cf ici et ), c’est au tour de Lush de jouer au Bon Samaritain.

Lush, c’est une marque ultra-fraîche, tant dans son esprit que dans ses produits (fabriqués à la main avec par exemple des jus de fruits frais et des tranches d’oranges, dates limites de consommation comme en alimentaire…). Leurs produits ne passent pas inaperçus, tant ils sont funs et différents. Mais je ne vous apprends peut-être rien, je suis sûre que vous connaissez déjà !

Le produit à se procurer d’urgence, c’est Caritativement Belle (Charity Pot en anglais). C’est une délicieuse crème pour les mains et le corps, à base de beurre de cacao issu du commerce équitable et parfumée aux huiles essentielles d’ylang-ylang et de tagète (= le rosier d’Inde – moi aussi, je me suis demandé ce que c’était !).

Sur le couvercle du pot, les détails concernant les associations bénéficiaires. LES associations, car contrairement à ce qui se pratique habituellement dans le charity business de la beauté, l’offre ne se limite pas à quelques semaines, elle est permanente. Les premières assoces à bénéficier du fruit de nos achats : People for Animals, Marine Turtle Conservation Project et Sumatran Orangutan Society. D’autres suivront, toujours dans le domaine de la préservation de l’environnement, notamment pour les animaux.

L’objectif de Lush est ambitieux : récolter 1 million de livres sterling (près d’1,5 million d’euros) rien qu’au Royaume-Uni la première année.

Pour ma part, je pense que cette crème fera un cadeau très sympa pour la Fête des Mères.

Caritativement Belle : 18.95 € (250 ml)
+ d’infos sur l’opération :
ici
!
Liste des boutiques en France, Belgique, Luxembourg et Suisse :
!




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vendredi 1 mai 2009

LES PRODUITS "VERTS" SONT-ILS AUSSI ÉCOLOS QU’ILS LE REVENDIQUENT ?

D’après une étude américaine, 98% des produits présentés comme « verts » aux Etats-Unis et au Canada ne le seraient pas tant que ça. En effet, il y a parfois un mooooonde entre ce qu’il est affiché sur un emballage et la réalité...
 

Le greenwashing, vous connaissez ?

Wikipédia le définit comme suit : « C’est un procédé de marketing utilisé par une organisation (entreprise, gouvernement, etc) dans le but de donner à l'opinion publique une image écologique responsable, alors que plus d'argent a été investi en publicité verte (la couleur verte symbolisant ici l'écologie) qu'en de réelles actions en faveur de l'environnement. »

Eh bien on risque tous de faire une overdose de verdâtre (= de vert pas tout à fait vert, quoi)...

Car d’après un rapport de l’agence Terra Choice Environmental Marketing, si le nombre de produits se revendiquant verts, tous secteurs confondus, aurait augmenté de 79% en moyenne entre 2006 et 2008 (79% en 2 ans !!!), 98% d'entre eux commettraient au moins un « péché de greenwashing ». Les cosmétiques étant, avec les produits pour enfants et les produits ménagers, les plus sujets à ce type de lavage.

Voici pour info la fameuse liste des 7 péchés de greenwashing (difficile à traduire de l'anglais, vous pardonnerez mes approximations) :
  1. Péché de concessions cachées (ex : une marque communique sur des extraits de plantes bio du bout du monde en omettant de préciser que leur transport est hyper-polluant)
  2. Péché de non-preuve (d’où l’intérêt des certifications par des organismes indépendants)
  3. Péché d’imprécision (ex : afficher « 100% naturel » alors que le produit contient du formaldéhyde… qui est toxique mais peut pourtant bien avoir une origine naturelle)
  4. Péché de fausse labellisation (un étiquetage qui, à travers des mots ou des images, fait croire à une certification indépendante)
  5. Péché de revendication inappropriée (ex : « sans produit bovin » alors que c’est de toutes façons interdit)
  6. Péché de moindre mal (ex : la cigarette bio)
  7. Péché de mensonge (le péché le moins fréquent, mais heureusement, car ça, c’est de toutes façons interdit par la loi !)
Toujours d'après cette étude, le nombre de publicités axées « nature » a triplé entre 2006 et 2008 et les certifications de produits concernent aujourd'hui 23,4% des produits à revendication green, contre 13,7% il y a 2 ans.

« La bonne nouvelle, se félicite Scot Case, Vice-Président de l’agence, c’est que le boom du green montre que les consommateurs sont demandeurs de plus de choix de produits respectant l’environnement et qu’ils sont écoutés par les marketeurs et les fabricants. »

Le rapport complet de l’étude est consultable ici. Je n’ai pas encore pris le temps de le lire en détails, mais j’imagine qu’il est plein d’infos croustillantes pour les naturo-addicts...





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